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Masaharu NAKAGAWA, membre de la Chambre des représentants et secrétaire général de la commission parlementaire de la Diète nationale du Japon pour la Fédération mondiale, a souligné le rôle crucial des fonds prévisibles dans la fourniture de l’aide au développement. Il a reconnu les défis auxquels le Japon est confronté en raison de la dépréciation du yen, qui rend les contributions futures incertaines. Il a toutefois assuré que les membres de la Diète étaient pleinement conscients de la nécessité de disposer de fonds stables pour une aide au développement efficace.

En ce qui concerne le rôle des Nations unies dans les pays en conflit, les membres de la Diète japonaise estiment que les Nations unies ne remplissent pas leur rôle de prévention des conflits, de création d’une société sans conflits ou de construction de la paix en cas de conflits, et que le Conseil de sécurité ne joue pas son rôle ou n’est pas en mesure de remplir cette fonction. Le monde se trouve dans une situation où ces fonctions ne sont pas exercées ou ne peuvent pas l’être, le Conseil de sécurité jouant un rôle central. C’est pourquoi nous nous trouvons dans une situation où le programme de développement des Nations unies doit créer le type de structure qui lie l’aide humanitaire au développement. En conclusion, M. Nakagawa a exprimé sa conviction qu’il est important de discuter de la manière dont les fonctions de l’ONU devraient être orientées vers la consolidation de la paix par le biais des différents organes de l’ONU ; en d’autres termes, de discuter et de mettre en œuvre la réforme de l’ONU.  (25/6/2024)

M. Takanori ARIMA, directeur du Bureau de la coopération internationale du ministère des affaires étrangères, a déclaré que le Programme des Nations unies pour le développement est une institution centrale du système de développement des Nations unies et une organisation à l’avant-garde du développement dans le monde entier. Comme l’a mentionné l’administrateur associé Haoliang Xu, le Japon se trouve dans une situation très difficile pour apporter des contributions financières aux organisations internationales en raison de la faiblesse du yen. Cependant, dans la perspective de garantir la base financière du Programme des Nations Unies pour le développement, le gouvernement japonais a l’intention de continuer à travailler ensemble, à échanger des points de vue et à tenir des discussions avec le PNUD, y compris l’introduction de fonds privés, comme cela a été mentionné plus tôt au cours de cette réunion. (25/6/2024)

Mme Ayaka SHIOMURA, membre de la Chambre des conseillers du Parti constitutionnel démocratique du Japon (CDP), déclare qu’elle aimerait connaître l’opinion de l’administrateur associé du PNUD, Haoliang Xu, sur l’approche du Japon en matière de droits de l’homme. Elle a ensuite exprimé son opinion sur le fait que les recommandations de l’ONU ne sont pas juridiquement contraignantes, ce qui exacerbe la situation actuelle au Japon. Pour plus d’informations, voir l’article complet.(25/6/2024)

Makoto HAMAGUCHI, membre de la Chambre des conseillers du Parti démocratique populaire du Japon, pose deux questions à M. Haoliang Xu. La première concerne les émissions de CO2 du Japon, qui s’élèvent à 1,1 milliard de tonnes par an. Il a demandé comment le PNUD évalue les efforts du Japon en matière de décarbonisation et de lutte contre le changement climatique. Il a également souhaité savoir quel rôle les membres permanents du Conseil de l’ONU devraient jouer à l’avenir en réponse aux conflits qui ne cessent de se produire aujourd’hui. (25/6/2024)

Veuillez nous informer de vos activités au Soudan et au Myanmar, qui ont été gravement endommagés par le conflit. Ce qui m’intéresse le plus, c’est de savoir comment nous pouvons vous informer de ces situations. La couverture médiatique au Japon s’est concentrée sur l’Ukraine et Gaza. Par conséquent, il y a très peu d’informations sur le Soudan, le Yémen et le Myanmar. Nous pensons donc que la communauté internationale doit être informée de cette situation. Cela permettra à la communauté internationale de fournir un soutien efficace à ces régions. Nous aimerions connaître votre avis sur la question.

Masaaki TANIAI, membre de la Chambre des conseillers du Komeito, a indiqué qu’il était à la tête du quartier général de promotion des ODD au sein du parti Komeito. Il a exprimé son intérêt pour la manière dont les post-ODD seront développés après les ODD de 2030. Il a déclaré qu’on lui demandait souvent s’il était trop tôt pour commencer lorsqu’il parlait des post-OGD. Il pense néanmoins que le Japon doit déterminer rapidement les post-OGD et souhaite collaborer avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). (25/6/2024)

M. Takanori Kawai, membre de la Chambre des Conseillers du Parti démocratique populaire, a posé une question sur les tendances récentes du réchauffement climatique : au cours des 30 dernières années, depuis 1990, l’année 2023 a connu une augmentation importante du réchauffement climatique, et nous aimerions vous demander quelle en est, selon vous, la cause. (25/6/2024)